32 % : c’est la part des femmes qui ont déjà subi du harcèlement sexuel ou une agression sexuelle au travail, public et privé confondu.
70 % : c’est la part des femmes qui en a déjà parlé (à sa famille, à un.e collègue, à un.e ami.e, à sa hiérarchie, aux ressources humaines...), c’est-à-dire près de trois quarts d’entre elles. Les violences sexistes et sexuelles au travail (VSST) existent et les personnes concernées en parlent. Le reconnaître est une première étape pour les combattre. Et l’action syndicale est un levier incontournable pour les faire cesser.
28 décembre 2021