Réaction de la section académique aux annonces présidentielles, communiqué du SNES-FSU
Dans le second degré, la fermeture en réalité d’un mois, est imposée par
– l’impréparation ministérielle
– Le retard sur la vaccination des personnels, dont le Président n’a pas été en mesure de fixer le calendrier.
– Le refus obstiné d’admettre que les établissements sont de hauts lieux de contamination, quand la demie jauge n’a pas été instaurée.
Tous les Français ont compris, bien avant JM Blanquer, que ce sont des lieux d’interactions par leur nature même. Le « temps gagné » est en vérité le temps perdu laissé au virus pour se propager.
Cette fermeture est bien subie, et l’inaction ministérielle l’a rendue inévitable.
Dogmatique et autosatisfait, JM Blanquer n’a jamais voulu admettre que les protocoles étaient insuffisants. La preuve : aucun aménagement pour les programmes, le dnb et le bac n’a encore été annoncé.
Le ministre n’a pas voulu prévenir : aux élèves, aux parents et aux personnels de subir.
Communiqué du Snes-FSU