Il est demandé aux collègues susceptibles d’être désigné.e.s pour corriger le DNB, d’émarger un document émanant du rectorat de Lille.
Ce document est issu des échanges qui ont lieu au rectorat lors du groupe de travail sur les examens du 22 novembre (-> compte-rendu et déclaration SNES ICI)
Le Snes avait été à l’initiative de ce GT pour y demander, notamment, que la DEC (Divisions des Examens et Concours) explique comment étaient repérés les correcteurs/correctrices, certain.e.s ne parvenant pas à être « déconvoqué.e.s. » pour des motifs pédagogiques liés à leur service (pas de classe de troisième) par exemple.
La DEC nous avait alors informés qu’elle ne connaissait pas le service des collègues, et ne savait pas non plus que certain.e.s convoqué.e.s étaient stagiaires.
La signature du bordereau doit donc être l’occasion, pour les collègues, de signaler au chef d’établissement toute difficulté de nature à compromettre leur participation efficace à la correction des épreuves écrites.
La direction doit faire remonter les éventuelles demandes de dispense pour le 28 février au rectorat, sachant que le besoin en correcteurs est très important, d’où le rappel du texte de 1933 qui fait de la participation aux examens une obligation de service, ce qui autorise l’Administration à ne pas donner suite aux demandes.
La signature indique simplement que l’on a pris connaissance de la possibilité d’être convoqué.e et de faire remonter une difficulté.
Le rappel du texte de 1933 ne limite en aucun cas la faculté, le moment venu, d’exercer son droit de grève au moment des examens.
Ce document est similaire à celui que doivent signer les collègues convoqué.e.s pour le bac.